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Sécurité routière : arrêtons l'hécatombe !

Avec 7720 morts sur les routes, l'année 2001 interrompt brutalement une lente tendance à la baisse enregistrée dans notre pays depuis une dizaine d'année. La France est ainsi un des pays européens où le nombre de tués par habitant est le plus important. Grands responsables, les conducteurs qui, ils l'avouent eux-même, transgressent les règles du code de la route. Et les pouvoirs publics qui ne multiplient pas suffisamment les contrôles, surtout en ce qui concerne la vitesse, premier facteur d'accidents mortels.

La violence routière n'est pas une fatalité. Même si le risque zéro n'existe pas, il est difficilement supportable de penser que l'on n'arrive pas en France à ramener le nombre de morts et de blessés au niveau auquel sont arrivés d'autres pays comparable au nôtre.
Pour y parvenir, les idées ne manquent pas dans les associations qui luttent contre la "criminalité routière". Elles vont du traitement informatisé des P V à la prison ferme pour conduite en état d'ivresse, ou à l'installation d'une boîte noire dans chaque véhicule.
"Prévention et répression doivent aller de pair, martèle Geneviève Jurgensen, porte parole de la Ligue contre la violence routière. On voit tout de suite dans les chiffres que dès que la vigilance des pouvoirs publics se relâche, le nombre de morts augmente. C'est ce qui semble s'être passé au second trimestre de 2001. Et ce qui se retrouvera peut-être dans les chiffres 2002 à cause en particulier de l'effet amnistie. Quand seule une contravention sur dix est payée et que la majorité des affaires sont classées sans jugement, il y a de quoi décourager les plus zélés des fonctionnaires."

Les conducteurs français trop laxistes.
La ceinture de sécurité : à l'arrière aussi.
L'alcool au volant : 1 accident mortel sur 3.
La vitesse : près de 2 automobilistes sur 3 la dépassent.
Les distances de sécurité : 2 secondes qui comptent.
La fatigue, parfois aussi dangereuse que l'alcool.

Les conducteurs français trop laxistes.

La banalisation de la violence routière - les 8000 décès causés par les accidents de la route soulèvent peu d'émotion - tient probablement au fait que le non-respect du code de la route n'est pas ressenti comme une faute. Un sondage d'opinion * montre que chacun s'accorde trop souvent une bonne marge de manoeuvre avec les règles de conduite.

Malgré une conscience affichée des risques (95% des personnes interrogées déclarent que l'oubli de la ceinture à l'arrière est un facteur de risque majeur, mais 29% d'entre elles admettent ne pas l'attacher systématiquement), une part importante des conducteurs avouent ne pas changer leurs habitudes au volant. Autre enseignement, les excès de vitesse font l'objet d'une "condamnation molle" : à peine deux tiers des sondés estiment grave de rouler à 65 km/h en ville et à 150 km/h sur autoroute...

S'ajoute à cela la relative impunité qui entoure cette transgression : la probabilité d'être sanctionné quand on roule pendant une heure à plus de 10 km/h au dessus de la vitesse autorisée était d'environ 1 sur 2000 en 2001 et les contrôles de vitesse ont, à trafic constant, diminué de 30% depuis dix ans.

Un sursaut est pourtant possible. C'est une affaire de morale et de conscience collective quand 60% des tués ne sont pas responsables. Le non-respect du code de la route est une véritable mise en danger de la vie d'autrui, qui doit être sanctionnée. N'attendons pas un drame comme celui qui s'est produit il y a bientôt vingt ans sur l'autoroute A6 à Beaune pour prendre les mesure qui s'imposent.

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La ceinture de sécurité : à l'arrière aussi.

Si le port de la ceinture progresse régulièrement à l'avant, des progrès restent à faire pour que les passagers arrière la bouclent systématiquement

Le constat.

Le port de la ceinture de sécurité divise par deux ou trois le risque d'être tué ou gravement blessé dans un accident. Au moins 800 vies seraient épargnées chaque année si chacun, à l'avant comme à l'arrière, bouclait sa ceinture.

La règle.

Il est obligatoire de boucler sa ceinture à l'avant comme à l'arrière, en ville comme sur la route. Les enfants de moins de 10 ans doivent être maintenus par un système de retenue homologué variable selon leur âge et leur poids.

La sanction.

Le non-port de la ceinture est une infraction qui constitue une contravention de deuxième classe entraînant le retrait d'un point du permis pour le conducteur et une amende de 35 euros par passager non attaché.

Ce qu'il faut retenir.

Inventée en 1903, la ceinture n'est obligatoire en France que depuis 1979
aux places avant et 1990 aux places arrière. Si le port de la ceinture a fortement progressé notamment depuis que la sanction du non-respect de cette obligation est le retrait d'un point du permis, il n'atteint que 91 % en 2001, tous réseaux confondus.
C'est sur autoroute que son taux est le plus élevé (97%), mais une personne sur cinq ne la boucle pas encore en agglomération. On sait pourtant qu'un choc frontal peut être mortel dès 20 km/h et que la protection par airbag n'est efficace qu'en complément du port de la ceinture (ses performances augmentent de 20 à 30%).
Enfin, même à vitesse réduite, un enfant n'est pas protégé lorsqu'il est dans les bras d'un adulte. En cas d'un choc à 50 km/h, un enfant de 25 kg se transforme en projectile de 1 tonne.
En cas de retournement du véhicule ou d'incendie, un passager ceinturé a cinq fois plus de chance de survivre et, après un tonneau, l'éjection d'un usager sans ceinture est mortelle dans neuf cas sur dix.
Enfin, il faut absolument porter la ceinture même lors d'un petit trajet : à peu près les deux tiers des accidents se produisent à proximité du domicile.

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L'alcool au volant : 1 accident mortel sur 3.

Si conduire sous l'influence de l'alcool est un délit moins répandu que l'excès de vitesse, son influence est cependant considérable sur les accidents.

Le constat.

Si 1,5 % des conducteurs présentent une alcoolémie supérieure à 0,5 g/l lors de contrôles de routine, ils sont 17 % à dépasser ce taux lors de contrôles consécutifs à un accident. Les accidents fiés à l'abus d'alcool représentent 31 % des accidents mortels et l'alcool au volant est responsable directement de 40 % des décès immédiatement consécutifs aux accidents. À 0,5 g/l, le risque d'accident est multiplié par deux. Il est multiplié par cinq lorsqu'on dépasse 0,8 g/l.

La règle.

En France, il est interdit de conduire avec plus de 0,5 g d'alcool par litre de sang. Il faut savoir qu'en moyenne, pour un homme de 70 kg, ce taux est atteint à jeun avec deux verres et demi de vin. Pour une femme de 50 kg, il suffit d'un verre et demi. Et qu'il faut entre quatre et cinq heures pour éliminer ces 0,5 g d'alcool.

La sanction.

Le conducteur qui présente une alcoolémie comprise entre 0,5 et 0,8 g/l est puni d'une amende prévue pour les contraventions de quatrième classe (135 euros et d'un retrait de trois points de son permis. Si elle dépasse 0,8 g/l, le conducteur commet un délit et encourt une peine de deux ans d'emprisonnement, 4 500 euros d'amende et un retrait de six points de son permis. Celui-ci peut être suspendu jusqu'à trois ans, cette suspension pouvant être limitée à la conduite en dehors de l'activité professionnelle. Le permis peut également être annulé, avec interdiction de se présenter à l'examen pendant trois ans. Le nombre de contrôles d'alcoolémie a triplé au cours des dix dernières années. Il a concerné 6 millions de personnes en 2001.

DEVOIR D'INGÉRENCE

Nous devons nous opposer à l'attitude irresponsable de certains conducteurs et exiger que celui qui prend le volant soit celui qui ne boit pas il en va de notre responsabilité.

Ce qu'il faut retenir.

Même à des doses relativement faibles, l'alcool a des effets néfastes sur la conduite.
En particulier, son action désinhibitrice procure une impression d'invulnérabilité, alors que les temps de réponse sont allongés, la perception des distances brouillée, le champ visuel rétréci, la réaction à l'éblouissement la nuit moins bonne, etc. L'alcool est un facteur d'aggravation des accidents.

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La vitesse : près de 2 automobilistes sur 3 la dépassent.

Les Français s'accorde trop de libertés avec la vitesse : à peine plus d'un conducteur sur deux estime qu'il est grave de rouler à 150 km/h sur autoroute...

Le constat.

La vitesse est la première cause de mortalité sur les routes, devant l'alcool. Elle est en cause dans un accident mortel sur deux, dans 62 % des accidents qui se produisent dans les virages et 60 % des accidents impliquant des motocyclistes. Les principales victimes sur route sont les jeunes conducteurs (18-24 ans), automobilistes et usagers des deux-roues.
La vitesse moyenne pratiquée de jour sur l'ensemble des réseaux ne cesse d'augmenter (elle a atteint 127 km/h sur autoroute et 62 km/h en agglomération, par exemple, en 2000). Pourtant, on sait que chaque fois que la vitesse moyenne baisse de 1 km/h, le nombre de victimes diminue de 3 à 4 %.

La règle.

En France, la vitesse est limitée à 130 km/h sur autoroute. Sur les routes à deux fois deux voies, elle est de 110 km/h, et de 90 km/h maximum sur les routes à deux voies.
En agglomération, elle ne peut excéder 50 km/h, voire moins.
Lorsque la chaussé est humide, les vitesses sont réduites, sauf en agglomération, à 110 sur autoroute, 100 les routes à deux fois deux voies, et 80 sur les routes à deux voies. Cette diminution s'applique également aux conducteurs qui ont moins de deux ans de permis.

La sanction.

Tout conducteur d'un véhicule qui dépasse les vitesses maximales autorisées encourt une amende de quatrième classe, et de cinquième classe en cas de dépassement de 50 km/h. En cas de dépassement de 40 km/h ou plus, il est prévu une peine complémentaire de trois ans de suspension de permis, cette suspension pouvant être aménagée pour des raisons professionnelles.
De plus, le nombre de points du permis est réduit dans les conditions suivantes :

quatre points pour un dépassement de 40 km/h ;
trois points entre 30 et 40 km/h ;
deux points entre 20 et 30 km/h ;
un point à moins de 20 km/h.

Pour les titulaires du permis depuis moins de deux ans, tout dépassement inférieur à 40 km/h est sanctionné par le retrait de trois points.

Enfin, est puni d'une peine de trois mois d'emprisonnement et de 3 800 euros d'amende tout conducteur qui, déjà condamné définitivement pour un dépassement de 50 km/h de la vitesse maximale autorisée, commet la même infraction dans un délai d'un an à compter de sa condamnation définitive. Son permis de conduire peut être suspendu jusqu'à trois ans (aménageable pour raisons professionnelles). Ce délit s'accompagne d'un retrait de six points.

Ce qu'il faut retenir.

Le dépassement de la vitesse maximale autorisée est un phénomène général :
60 % des automobilistes et des conducteurs de poids lourds et 70 % des motocyclistes sont concerne Dans les agglomérations, quatre conducteurs sur cinq sont en infraction. Sur route, ils sont trois sur cinq, et sur autoroute un sur deux. Pourtant, 80 % des Français sont convaincus qu'une lutte plus vigoureuse contre les excès de vitesse permettrait de réduire le nombre et la gravité des accidents de manière significative.

La vitesse réduit les performances et les possibilités d'action de toute personne, même jeune. En effet si le champ de vision du conducteur est de 100° à 40 km/h à 100 km/h il n'est plus que de 45°, et tombe à 30° à 130 km/h 1 Le nombre d'informations visuelles que le cerveau est capable d'exploiter est limité, et la vitesse entraîne une vision en couloir, préjudiciable à une bonne perception des risques. Les temps de réaction étant incompressibles, plus la vitesse est élevée, plus la distance de réaction est grande quand surgit l'obstacle. Ainsi, en cas de choc à 20 km/h, un piéton renversé a un risque sur dix d'être tué, mais il n'a aucune chance de s'en sortir à 80 km/h.

De même, le passager ayant boudé sa ceinture court un risque quasiment nul en cas de choc frontal à 35 km/h, alors que ce risque passe à 50 % si le choc se produit à 70 km/h.

Au-delà de la notion de vitesse autorisée, l'automobiliste doit être attentif à l'environnement et faire 1 preuve de bon sens: rouler à 50 km/h devant une école à l'heure de la sortie est manifestement excessif.

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Les distances de sécurité : 2 secondes qui comptent.

Pour éviter les collisions par l'arrière ou en chaîne, le respect des distances de sécurité est primordial. La loi a récemment lié vitesse et distance entre les véhicules. Et précisé les sanctions !

Le constat.

Il faut 1 seconde à un conducteur en état de vigilance normale pour que l'information parvienne à son cerveau et déclenche une réaction. Il va donc parcourir, avant même d'avoir freiné, 14 ni à 50 km/h, et 36 ni à 130 km/h. Les systèmes ABS, qui équipent maintenant les voitures - et même certains deux roues -, permettent au véhicule de conserver sa direction mais ne réduisent aucunement les distances de freinage. Ainsi, sur route sèche, il faut 28 m pour arrêter un véhicule roulant à 50 km/h, et 129 m - soit un peu plus que la longueur d'un terrain de football - pour stopper une voiture lancée à 130 km/h (distance de réaction + distance de freinage). Sur route humide, il faut compter respectivement 42 et 222 m...

La règle.

Le décret n° 2001-1127 du 23 novembre 2001 impose une distance de sécurité entre deux véhicules d'au moins 2 secondes (temps minimal laissé au conducteur pour réagir de manière appropriée). Il donne également la possibilité d'imposer des distances de sécurité plus grandes dans certains ouvrages routiers (les tunnels par exemple).

La sanction.

En cas de non-respect de la distance de sécurité, le conducteur encourt l'amende forfaitaire prévue pour les contraventions de quatrième classe, soit 135 euros. Cette amende peut aller jusqu'à 750 euros et être assortie d'un retrait de trois points du permis de conduire.

Quand des distances de sécurité supérieures ont été imposées et non respectées, le permis peut être suspendu pour une période maximale de trois ans. L'article 26 de la loi n° 2002-3 du 3 janvier 2002 prévoit six mois d'emprisonnement et 3 750 euros d'amende pour tout conducteur qui, dans un tunnel, ne respecte pas une distance de sécurité suffisante.

Ce qu'il faut retenir.

Plus la vitesse est élevée et plus la distance à respecter est grande.
Mais elle correspond toujours à la règle des 2 secondes. C'est le temps minimal pour qu'une voiture rejoigne le point où se trouve la voiture qui la précède. Pour calculer la distance à laquelle correspondent ces 2 secondes, il faut repérer un point de passage du véhicule qui précède (arbre, pont, panneau, poteau) et s'imposer 2 secondes minimum pour atteindre ce point. Pour évaluer 2 secondes, on peut utiliser la méthode des parachutistes et compter lentement « 330,331 » (ou « un Mississippi, deux Mississippi »).

Sur autoroute, il est recommandé de laisser entre les deux véhicules un espace équivalent à au moins deux bandes de peinture latérale, soit une distance de 90 m. En cas de pluie, la distance reste la même, mais la vitesse doit être réduite d'au moins 20 km/h.

Par temps de brouillard, il faut se méfier du « phénomène de l'aspirateur » : on a tendance à accélérer pour ne pas perdre de vue le véhicule qui nous précède, lequel accélère pour ne pas être serré de trop près... Il se forme alors des files de véhicules roulant à une vitesse excessive.

! Téléphoner ou conduire

La quasi-totalité des conducteurs affirme que le fait de téléphoner en conduisant représente un danger (96 %). Ce que les chiffres confirment : en 2001, on a constaté que le risque d'accident est multiplié par quatre en cas d'utilisation d'un téléphone portable. Téléphoner en conduisant est une infraction sanctionnée par une amende de 35 euros. Parce que la charge mentale du conducteur augmente beaucoup lorsqu'il téléphone, diminuant sa concentration et donc son temps de réaction, le fait d'utiliser un kit mains libres n'exonère pas de la sanction.

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La fatigue, parfois aussi dangereuse que l'alcool.

Comme pour les autres causes d'accidents, chacun peut faire en sorte de réduire le risque. En décrétant que « celui qui conduit, c'est celui qui est reposé ».

Le constat.

La perte de vigilance au volant est en cause dans 15 à 20 % des accidents sur la route et dans 30 % des accidents mortels sur les autoroutes.
Conduire est une activité fatigante. La fatigue entraîne une baisse de vigilance. Le manque de sommeil peut entraîner une augmentation du temps de réaction, une réduction du champ visuel, une altération de la mémoire immédiate et une prise de risque accrue. Le conducteur se laisse gagner par la monotonie de la conduite et le danger est réel de s'assoupir au volant. Le risque de somnolence augmente entre 13 et 15 heures (sieste) pour redescendre jusqu'à 20 heures. Il est maximal entre minuit et 6 heures du matin.

Les précautions à prendre.

Avant d'effectuer de longs trajets, il est essentiel de se reposer et de ne pas se fixer d'objectifs trop ambitieux: temps de conduite, horaires d'arrivée.
La grande vitesse et les trajets de nuit entraînant une fatigue accrue, il est important de connaître les signes de fatigue : yeux qui picotent, bâillements répétés, tête lourde, crispation de la mâchoire, besoin de se gratter la tête, de changer de position, impression que la voiture ne fait plus le même bruit... De même, la difficulté à maintenir une vitesse constante, une trajectoire rectiligne, le manque de concentration, la lenteur des réactions ou encore des périodes d'absence (de 1 à 4 secondes) doivent vous alerter. Une pause de 15 à 30 minutes est alors indispensable.
Attention à l'effet de certains médicaments sur la vigilance. Lisez attentivement la notice. Demandez à votre médecin ou à votre pharmacien de vous donner un médicament similaire mais n'entraînant pas la somnolence.

Le bon comportement.

Pour garder un bon niveau de vigilance, il est indispensable :
de bien aérer le véhicule, de baisser la climatisation, et de bien régler la position de conduite ;
de boire beaucoup d'eau ou autre boisson non alcoolisée, d'éviter les sucres rapides ;
d'effectuer des pauses fréquentes de 15 à 20 minutes au minimum toutes les deux heures ; profitez-en pour marcher un peu et vous détendre ;
d'éviter de conduire les yeux fixés sur la route ;
de ne pas chercher à accélérer pour arriver plus vite : rouler vite augmente la fatigue et les risques. Passez plutôt le volant à un autre conducteur, plus reposé.

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* Sondage réalisé en 2001 auprès de 1003 Français pour la Sécurité routière, l'Ifop et France Inter. [retour texte]

 

 

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